Amputations et désarticulations post-traitement traditionnel au CHU Pr. Bocar Sidy SALL de Kati
Voir/ Ouvrir
Date
2020Auteur
Keita, Abdoulaye Namaké
Type
ThesisMetadata
Afficher la notice complèteRésumé
Résultat : Le sexe masculin a été le plus représenté avec 67,7% des cas avec un sexe-ratio de 1,5. La tranche d’âge la plus représentée a été celle de21 à 49avec 49,3% des cas. Les ménagères ont été les plus représentées avec 33,3% des cas.
Les patients habitant en péri-urbaine ont été les plus touché avec 47,9% des cas.
Les patients non scolarisés ont été prédominant avec 77,5%. La suppuration a été le motif de consultation le plus fréquent avec 40,8% des cas. L’AVP a été l’étiologie la plus représentée avec 43,7%. L’atteinte du membre inferieur a été le plus touché (91,6%) avec une prédominance du segment jambier (40,8%). Le massage traditionnel utilisé seul ou en association a été le plus fréquent (90,2) avec une durée allant de 11 à 20 jours dans 63,4%. La gangrène humide a été le diagnostic le plus fréquent avec 50,7% des cas. L’amputation a été réalisée chez 97,18% des patients et la désarticulation chez 2,81% des cas.
Conclusion : L’amputation et la désarticulation doivent être considéré comme une chirurgie mutilante à laquelle nous devons faire recourt qu’en dernier ressort.
Plus d'informations.
https://www.bibliosante.ml/handle/123456789/4167Éditeur
USTTB
Assujettir
ChirurgieOrthopédie-Traumatologie
Amputations
Désarticulations
traitement traditionnel
Kati