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dc.creatorKeita, Abdoulaye Namaké
dc.date.accessioned2021-01-25T09:03:19Z
dc.date.accessioned2021-02-15T16:48:12Z
dc.date.available2021-01-25T09:03:19Z
dc.date.available2021-02-15T16:48:12Z
dc.date.created2021-01-25T09:03:19Z
dc.date.issued2020
dc.identifierhttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/4167
dc.identifier.urihttps://library.adhl.africa/handle/123456789/13841
dc.description.abstractRésultat : Le sexe masculin a été le plus représenté avec 67,7% des cas avec un sexe-ratio de 1,5. La tranche d’âge la plus représentée a été celle de21 à 49avec 49,3% des cas. Les ménagères ont été les plus représentées avec 33,3% des cas. Les patients habitant en péri-urbaine ont été les plus touché avec 47,9% des cas. Les patients non scolarisés ont été prédominant avec 77,5%. La suppuration a été le motif de consultation le plus fréquent avec 40,8% des cas. L’AVP a été l’étiologie la plus représentée avec 43,7%. L’atteinte du membre inferieur a été le plus touché (91,6%) avec une prédominance du segment jambier (40,8%). Le massage traditionnel utilisé seul ou en association a été le plus fréquent (90,2) avec une durée allant de 11 à 20 jours dans 63,4%. La gangrène humide a été le diagnostic le plus fréquent avec 50,7% des cas. L’amputation a été réalisée chez 97,18% des patients et la désarticulation chez 2,81% des cas. Conclusion : L’amputation et la désarticulation doivent être considéré comme une chirurgie mutilante à laquelle nous devons faire recourt qu’en dernier ressort.
dc.languagefr
dc.publisherUSTTB
dc.relation20M340;
dc.subjectChirurgie
dc.subjectOrthopédie-Traumatologie
dc.subjectAmputations
dc.subjectDésarticulations
dc.subjecttraitement traditionnel
dc.subjectKati
dc.titleAmputations et désarticulations post-traitement traditionnel au CHU Pr. Bocar Sidy SALL de Kati
dc.typeThesis


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