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dc.contributorDiallo, Souleymane
dc.creatorAhanogbe, Kokou Anani Lem
dc.date.accessioned2019-03-29T15:35:27Z
dc.date.accessioned2019-10-04T00:07:36Z
dc.date.available2019-03-29T15:35:27Z
dc.date.available2019-10-04T00:07:36Z
dc.date.created2019-03-29T15:35:27Z
dc.date.issued2014
dc.identifier14P23
dc.identifierhttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/1028
dc.identifier.urihttps://library.adhl.africa/handle/123456789/9912
dc.description.abstractIntroduction : L'émergence de souches bactériennes multi résistantes est une situation préférentiellement grave pour le patient diabétique. Dans l'optique d'une surveillance des résistances aux antibiotiques en cas d'infections de plaies diabétiques, notre étude s'est fixé pour objectif d'identifier les bactéries responsables des suppurations, d'étudier leur sensibilité aux antibiotiques usuels, d'identifier si possible leurs phénotypes de résistance et enfin d'évaluer la capacité du LRM à participer à la surveillance de résistance. Méthodologie : Notre étude s'est déroulée du 1er janvier 2013 au 31 décembre 2013 à Bamako et a concerné le Laboratoire Rodolphe Mérieux (LRM). Ce fut une étude transversale, prospective et descriptive portant sur des souches bactériennes isolées lors d'examens de pus provenant de plaies diabétiques. Nos antibiogrammes ont été réalisés à l'aide des automates VITEK®2 Compact et mini API®. Résultats : Un total de 305 analyses de pus a été réalisé dont 58 concernaient les patients diabétiques soit une fréquence de 19,1 p.100. Ces prélèvements de pus diabétiques dont l'essentiel (84,5 p.100) a été réalisé au Centre National de Lutte contre le Diabète (CNLD) étaient pratiquement tous positifs à la culture soit 49 échantillons (84,5 p.100 des pus diabétiques analysés). Les 49 échantillons positifs qui se présentaient mono, bi et tri microbiens ont permis d'isoler 69 germes répartis en 18 germes différents avec une fréquence élevée de trois (Staphylococcus aureus, Escherichia coli, Proteus mirabilis) soit 66,65 p.100 de l'ensemble des germes. Outres les résistances naturelles confirmées dans notre étude, des niveaux de résistance très élevés ont été observés aux antibiotiques testés. Pour Staphylococcus aureus : tétracyclyne 77,8 p.100 ; levofloxacine 72,2 p.100 ; érythromycine 61,1 p.100 ; imipénème 55,6 p.100 ; oxacilline 50 p.100 ; ceftriaxone 50 p.100 ; cotrimoxazole 33,3 p.100 ; moxifloxacine 33 p.100 ; linézolide 22 p.100 ; téicoplanine 22,2 p.100 ; acide fusidique 16,7 p.100 ; vancomycine 5,6 p.100 ; une résistance nulle à la tigecycline, le nitrofurantoine et la fosfomycine. Pour Escherichia coli : ticarcilline 100 p.100 ; cefalotine 94,4 p.100 ; ciprofloxacine 94,4 p.100 ; cotrimoxazole 88,9 p.100 ; amoxicilline+acide clavulanique 72,2 p.100 ; cefotaxime 72,2 p.100, ceftazidime 66,6 p.100 ; nitrofurantoine 16,7 p.100 et une résistance nulle à l'ertapénème et imipénème. Pour Proteus mirabilis : ticarcilline 100 p.100 ; cotrimoxazole 80 p.100 ; ceftazidime 70
dc.subjectAntibiotiques
dc.subjectDiabète
dc.subjectInfections
dc.subjectRésistance microbienne aux médicaments
dc.subjectLaboratoire rodolphe merieux
dc.titleResistance bactérienne en cas d'infections de plaies diabétiques : diagnostic et surveillance au Laboratoire Rodolphe Merieux de bamako


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