dc.description.abstract | Notre étude fournit une vue d'ensemble des connaissances, et perception du planning dans le milieu universitaire. Il s'agissait d'une étude transversale menée de mai en juillet 2014 dans les différentes facultés concernées sur un échantillon de 200 étudiantes. Cette étude avait pourobjectif général de déterminer le niveau de connaissance et de la perception du planning familial dans le milieu universitaire. La technique d'enquête utilisée pour collecter nos données fut un questionnaire semi-structuré. Malgré les difficultés rencontrées, cette étude nous apporte un éclairage sur la problématique qui nous a motivé de la mener. Les étudiantes enquêtées ont entendu parler de la PF (100%). La majorité l'assimile à un espacement desnaissances (59%)suivi de la santé de la mère(10,5%) ; moins de dépense (9%) ; santé de l'enfant(7%) ; moins de naissance 5% ; famille heureuse 5 %.D'autres sens étaient évoqués par certaines étudiantes démontrant leur manque d'information conséquent sur le sujet. Comme méthode PF connues, la pilule contraceptive et fut la plus dominante avec(36%), le préservatif(20,5%), la méthode traditionnelle (11%), le contraceptif injectable (10%). L'allaitement maternel et les autres méthodes étaient les moins cités. Les principales sources d'information étaient les médias 35,5%, la mère 15,5%, les amis 15, 5%. La majorité des étudiantes soit 63% pense qu'il faut 4 à 3 ans d'intervalle entre deux naissances. Elles affirmaient à 94% qu'il existe des risques liés à l'avortement provoqué et 78,5% désapprouvent cette pratique. Les étudiantes enquêtées approuvaient la PF à 66% et 38% ont utilisé au moins une méthode. La pilule contraceptive était la méthode la plus utilisée. Cette étude nous donne aussi une idée sur les connaissances, perception et attitude de ces étudiantes sur les rapports sexuels précoces, les grossesses précoces, l'avortement provoqué et leurs risques. | |