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dc.creatorDakouo, Dibi Vincent De Paul
dc.date.accessioned2020-11-18T07:45:10Z
dc.date.accessioned2021-02-15T16:47:21Z
dc.date.available2020-11-18T07:45:10Z
dc.date.available2021-02-15T16:47:21Z
dc.date.created2020-11-18T07:45:10Z
dc.date.issued2020
dc.identifierhttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/4107
dc.identifier.urihttps://library.adhl.africa/handle/123456789/13630
dc.description.abstractOBJECTIFS : Décrire L’aspect épidémio-clinique et thérapeutique du paludisme grave dans le service de pédiatrie du Centre de Santé Référence (CS Réf) de Kalaban-Coro. METHODOLOGIE : Nous avons réalisé une étude rétro prospective portant sur tous les cas de paludisme grave chez les enfants de 06mois à 14 ans admis au service de pédiatrie du Centre de Sante de Référence durant la période du 01 janvier 2019 au 31 Décembre 2019. Résultats : Au cours de cette étude relative à la prise en charge du paludisme grave et compliqué dans le service de pédiatrie du CS réf de kalaban Coro. Le travail portait sur un échantillon de 300 cas de paludisme grave et compliqué. Notre échantillon a été dominé par le sexe masculin qui représentait 54% (162/300) contre 46% (138/300). Des taux comparables aux nôtres ont été auparavant observés par Keita [20] (53,3%) et Niambelé [46] (55%) dans le service de pédiatrie du CHU du Gabriel Toure. Une étude réalisée à Ségou a retrouvé 55,83% [16] en pédiatrie est également proche de notre étude. L’âge moyen des patients a été de 2,47 ans avec des extrêmes à 06 mois et 14ans. La tranche d’âge de 2 ans a été la plus représentative avec 36,7% des cas. Nous avons observé que dans 10,6% des cas, le paludisme grave et compliqués était associe à d’autres affections non diagnostiquées à l’admission qui étaient majoritairement représentées par l’épilepsie (1%), la rougeole (0,6%), les méningites (0,6%), les infections pulmonaires (0,6%), la drépanocytose (0,6%), l’asthme (0,6%), cardiopathie congénitale (0,6%). Le bambara a été l’ethnie dominante de notre échantillon avec 33,0 % des cas. Un antipyrétique a été administré chez tous les patients fébriles soit 46,0% tous les cas de convulsion ont reçu un anticonvulsivant 47,0% en IV/IM/IR (diazépam dans la plus grande majeure partie des cas). Le phénobarbital a été utilisé dans le traitement de certaines crises convulsives (6,3%). 100% ont reçu le protocole d’artésunate. Conclusion : Le paludisme constitue un problème majeur de sante publique au Mali. Notre travail a permis d’étudier les modalités de prise en charge du paludisme grave chez les enfants 6mois à 14 ans admis au service de pédiatrie du Cs réf de kalaban Coro. La tranche d’âge des enfants de 2 ans était la plus touchée (36,7%). La létalité hospitalière est de (7,3%), Les paramètres de risques ont été : • l’hypoglycémie (7,3 %), • l’hyperthermie maligne (99,3%), • la détresse respiratoire (9,3%), • le coma profond (25,9%), • les convulsions (54,0%).
dc.languagefr
dc.publisherUSTTB
dc.relation20M300;
dc.subjectPédiatrie
dc.subjectPaludisme
dc.subjectPaludisme grave
dc.subjectPrise en charge
dc.titlePrise en charge du paludisme grave chez les enfants de 06 mois à 14 ans dans le service de pédiatrie du centre de santé de référence de kalaban-Coro
dc.typeThesis


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