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dc.creatorTraoré, H
dc.creatorGueye, S
dc.creatorTraoré, D
dc.creatorDiallo, O
dc.creatorCoulibaly, K
dc.creatorTraoré, S
dc.creatorGarango, A
dc.creatorKamissoko, K
dc.creatorOngoïba, N
dc.creatorSissoko, F
dc.date.accessioned2019-08-24T13:10:08Z
dc.date.accessioned2019-10-04T00:21:01Z
dc.date.available2019-08-24T13:10:08Z
dc.date.available2019-10-04T00:21:01Z
dc.date.created2019-08-24T13:10:08Z
dc.date.issued2014
dc.identifier0464-7874
dc.identifier1993-0836
dc.identifierhttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/2405
dc.identifier.urihttps://library.adhl.africa/handle/123456789/11233
dc.description.abstractA la phase aigue du noma, le rôle de la chirurgie est mineur et consiste en des soins locaux et occasionnellement au traitement de l'hémorragie.Pour des raisons socioculturelles et économiques, la reconstruction des pertes de substance doit se dérouler sur place. Le traitement chirurgical consiste en l'excision des tissus fibreux, la levée de l'ankylose et la fermeture des PDS par des lambeaux locaux, pédiculés ou libres.A cause de l'extrême variété des pertes de substance (PDS) et des multiples options chirurgicales, une systématisation et éventuellement, une standardisation de l'approche chirurgicale dans le traitement des séquelles de noma est indispensable.


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