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dc.creatorTraore, L F
dc.creatorDiop, S
dc.creatorChanou, Y
dc.creatorDiawara, S I
dc.creatorDiawara, A
dc.date.accessioned2019-08-24T13:09:46Z
dc.date.accessioned2019-10-04T00:20:29Z
dc.date.available2019-08-24T13:09:46Z
dc.date.available2019-10-04T00:20:29Z
dc.date.created2019-08-24T13:09:46Z
dc.date.issued2016
dc.identifier0464-7874
dc.identifier1993-0836
dc.identifierhttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/2222
dc.identifier.urihttps://library.adhl.africa/handle/123456789/10848
dc.description.abstractLe but de cette étude est de contribuer à prévenir les conséquences liées à une activité sexuelle et une fécondité précoces chez les jeunes. Elle se veut d'analyser les logiques d'utilisation de la contraception d'urgence chez les étudiantes en santé. Transversale, l'étude a concerné les étudiants inscrits pour l'année académique 2012–2013 à Bamako et Cotonou. Elle avait deux volets dont un qualitatif préparatoire et l'autre qualitatif décisionnel. Toutes les étudiantes enquêtées ont entendu parler de la contraception. La proportion d'étudiantes ayant déjà eu un rapport sexuel a été de 91,2%. Lors du premier rapport sexuel, seulement 20,3% des étudiantes sexuellement actives ont utilisé un moyen contraceptif. Par rapport au recours à la contraception d'urgence par les étudiantes sexuellement actives, neuf sur dix ont eu recours à la contraception d'urgence. L'analyse des données de cette étude permet de savoir que la contraception d'urgence est bien connue des étudiantes en milieu universitaire médical. Et bien qu'elles soient conscientes de ses limites en termes de protection contre une grossesse non désirée et des IST/VIH, elles ne sont pas prêtes à privilégier le préservatif qui leur offre cette double protection.


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