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dc.creatorKanté, L
dc.creatorTogo, A
dc.creatorDiakité, I
dc.creatorDembélé, B T
dc.creatorTraoré, A
dc.creatorCoulibaly, Y
dc.creatorKeita, M
dc.creatorKanté, S
dc.creatorSamaké, H
dc.creatorDiallo, G
dc.date.accessioned2019-09-09T11:36:28Z
dc.date.accessioned2019-10-04T00:20:27Z
dc.date.available2019-09-09T11:36:28Z
dc.date.available2019-10-04T00:20:27Z
dc.date.created2019-09-09T11:36:28Z
dc.date.issued2013
dc.identifier0464-7874
dc.identifier1993-0836
dc.identifierKanté L, Togo A, Diakité I, Dembélé B T, Traoré A, Coulibaly Y, Keita M, Kanté S, Samaké H, Diallo G. Plaies penetrantes abdominales par armes dans le service de chirurgie generale du CHU Gabriel Toure. Le Mali médical. 2013; (3):34-38
dc.identifierhttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/3292
dc.identifier.urihttps://library.adhl.africa/handle/123456789/10827
dc.description.abstractLa prise en charge des plaies pénétrantes de l'abdomen est encore sujet à controverses. Les objectifs de ce travail étaient d'étudier les aspects épidémiologiques, cliniques et thérapeutiques. Cette étude rétrospective de 4 ans, de janvier 2006 à janvier 2010 portant sur 70 cas de plaies pénétrantes de l'abdomen, a été réalisée dans le service de chirurgie générale du CHU Gabriel Touré. Les plaies non pénétrantes et les encornements ont été non inclus. A l'issue de l'étude, nous avons colligé 70 cas de plaies pénétrantes abdominales;ce qui a représenté 1,2% des hospitalisations. L'âge moyen des patients a été de 27,7 ans(extrêmes 12 et 59 ans) avec un sex ratio de 9 pour les hommes. Vingt sept patients (38,36%) viennent de la commune I et II. L'agression criminelle a été la circonstance de survenue la plus fréquente (70%). Trois de nos patients avaient un antécédent psychiatrique et 45,7% consommaient des stupéfiants. L'épiploon et le grêle ont été les organes les plus éviscérés (51,4%).Dix sept patients sur 53 ont bénéficié du traitement non opératoire. Notre taux de laparotomie blanche a été de 30,2% et la morbidité post opératoire était de 15,1%. La gestion des plaies pénétrantes abdominales reste difficile. Une bonne sélection des patients permet de diminuer le taux de laparotomie blanche.
dc.publisherSociété médicale du Mali
dc.relationLe Mali médical. 2013; (3):34-38
dc.subjectBamako
dc.subjectLaparotomie
dc.subjectPenetrating abdominal injury
dc.subjectplaies pénétrantes abdominales
dc.subjectsurgery
dc.titlePlaies penetrantes abdominales par armes dans le service de chirurgie generale du CHU Gabriel Toure.
dc.typeArticle


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