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dc.creatorKeïta, M
dc.creatorTraore, A K
dc.creatorDicko, I
dc.creatorCoulibaly, Y I
dc.creatorMaïga, A
dc.creatorBagayoko, B
dc.creatorTouré, H A
dc.creatorDicko, B
dc.creatorBoundi, M
dc.creatorSogoba, D
dc.creatorFongoro, S
dc.creatorDao, S
dc.date.accessioned2019-08-24T13:09:49Z
dc.date.accessioned2019-10-04T00:20:09Z
dc.date.available2019-08-24T13:09:49Z
dc.date.available2019-10-04T00:20:09Z
dc.date.created2019-08-24T13:09:49Z
dc.date.issued2013
dc.identifier0464-7874
dc.identifier1993-0836
dc.identifierhttps://www.bibliosante.ml/handle/123456789/2245
dc.identifier.urihttps://library.adhl.africa/handle/123456789/10623
dc.description.abstractDéterminer la place de l'émigration sur la transmission du VIH dans la région de Kayes. de Pearson et le test exact de Fischer ont été utilisés pour l'analyse bivariée. Le sex ratio a été de 2,51 en faveur du sexe féminin. Dans cette série, 32,3% (10/31) des hommes étaient des émigrants. Plus d'un tiers soit 37,2% (29/78) des femmes avaient comme partenaire sexuel un émigré. Il n'y a pas eu de différence significative entre les niveaux de connaissance en matière de VIH selon qu'on soit émigré ou non. Les risques qu'un émigré fréquente une professionnelle de sexe, 12 mois avant notre interview ont été 9 fois supérieurs à ceux d'un non émigré [OR=9,13 ; IC 95% (2,20 – 37,84)]. Un émigré était cinq fois plus susceptible d'avoir au moins deux partenaires sexuels [OR=5,11, 95% IC, (1,37 – 18,94)]. Cette étude a montré que le phénomène de l'émigration est un facteur d'expansion du VIH dans la région de Kayes au Mali. La sensibilisation des candidats à l'émigration doit être renforcée.


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