University of Science, Techniques & Technology of Bamako ADHL Node
https://library.adhl.africa/handle/123456789/6
2024-03-29T04:19:18ZReconstitution corono-radiculaire sur dents antérieures : inlay-core au service de la prothèse fixée du CHU-CNOS
https://library.adhl.africa/handle/123456789/14150
Reconstitution corono-radiculaire sur dents antérieures : inlay-core au service de la prothèse fixée du CHU-CNOS
Notre étude a porté sur les cas d’aspects cliniques de dents antérieures avant réalisation de reconstitution corono-radiculaire par inlay-core qui se sont présentés au service de prothèse fixée au CHU-CNOS à Bamako.
L’objectif principal de cette étude était Evaluer la qualité des reconstitutions corono-radiculaires des dents antérieures par inlay core.
Le sexe féminin a été le plus représenté avec 61,40% des cas et un sex ratio de 0,62 en faveur des femmes.
La tranche d’âge la plus représentée était celle de 61 ans et plus soit 25,72% des cas avec une moyenne d’âge de 51 ans et des extrêmes allant de 20 à 72 ans.
Les fonctionnaires étaient les plus représentés avec 55,72% des cas et seulement 10% étaient des ménagères.
2022-01-01T00:00:00ZEpulis gingivale congénitale : à propos d’un cas et revue de la littérature
https://library.adhl.africa/handle/123456789/14111
Epulis gingivale congénitale : à propos d’un cas et revue de la littérature
Introduction : l’épulis congénitale est une tumeur bénigne de la muqueuse alvéolaire du maxillaire du nouveau-né. Elle a été décrite pour la première fois par Neumann en 1871. C’est une pathologie rare avec une incidence de 0,0006%. Elle peut engendrer des troubles respiratoires ou alimentaires. Le traitement est chirurgical, le pronostic est favorable.
Objectif : illustrer la rareté de l’épulis congénitale dans notre pratique à travers une observation clinique et faire une revue de littérature.
Observation : Il s’agissait d’un nouveau-né à J1 post-natal, de sexe féminin, adressé par la pédiatrie pour une difficulté de succion sur une masse gingivale supérieure et inférieure mesurant, respectivement, environ 7x3 cm et 2x1,5 cm, indolore, de consistance ferme et mobile. Cette masse a fait l’objet d’une exérèse chirurgicale dont les suites opératoires ont été simples avec un recul de six mois sans récidive, ni anomalie dentaire.
Discussion : L’épulis congénitale est une tumeur bénigne rare prédominant chez le nouveau-né de sexe féminin avec un sex-ratio de 10:1. Les formes volumineuses ou multiples peuvent engendrer une gêne respiratoire et/ou alimentaire. Elle se présente comme un polype solitaire fermement attaché à la face labiale de crête alvéolaire et elle est 2 à 3 fois plus fréquente sur le maxillaire supérieur que sur la mandibule. Le diagnostic anténatal est possible par l’imagerie foetale. L’histologie retrouve des cellules polygonales ou allongées à cytoplasme éosinophile et granulaire. Le traitement de choix est l’exérèse chirurgicale. Les récidives sont rares et la dégénérescence maligne n’a pas été rapportée ; une anomalie de l’éruption dentaire est possible.
Conclusion : L’Epulis congénitale est une tumeur bénigne et rare du maxillaire du nouveau-né pouvant entrainer des troubles respiratoires ou alimentaires. Le diagnostic est clinique et anatomo-pathologique. La prise en charge est multidisciplinaire et le pronostic est excellent.
2021-01-01T00:00:00ZTAP Bloc dans la prise en charge de la douleur en chirurgie sous ombilicale : Expérience du CHU Point G
https://library.adhl.africa/handle/123456789/14110
TAP Bloc dans la prise en charge de la douleur en chirurgie sous ombilicale : Expérience du CHU Point G
Le TAP bloc à une place indéniable dans l’arsenal de nos techniques d’analgésie multimodale en chirurgie abdomino-pelvienne. Il procure une analgésie postopératoire de qualité et permet une épargne morphinique substantielle. Du fait de son efficacité, de sa simplicité d’exécution, et de son faible taux de complication, sa popularité devrait être croissante.
Notre étude a démontré les bénéfices du TAP Bloc dans les programmes d’analgie post opératoire. En effet, nous avons réalisé qu’au niveau de la gestion de la douleur postopératoire, le TAP bloc a donné d’excellents résultats avec une maitrise de la douleur jusqu’au-delà de 8heures de temps dans le postopératoire. Il nous a permis d’avoir comme résultat, une diminution de la consommation des morphiniques et opioïdes en postopératoire ainsi qu’une réduction de la charge de travail du personnel soignant avec une possibilité de réhabilitation post opératoire précoce.
2021-01-01T00:00:00Z: L’épidémiologie des hépatites B ET C au cours du VIH et Sida dans le centre hospitalier universitaire du point G (CHU POINTG)
https://library.adhl.africa/handle/123456789/14108
: L’épidémiologie des hépatites B ET C au cours du VIH et Sida dans le centre hospitalier universitaire du point G (CHU POINTG)
Introduction :
Les co-infections VIH et Sida et virus des hépatites B (VHB) et C (VHC) sont fréquentes, ces trois virus partageant des modes de transmission communs.
Cette fréquence élevée peut être due à la non possibilité d’accès à la prévention et au traitement. Comme le VIH et Sida, le VIHB et le VHC constituent un problème majeur de santé publique.
Devant la fréquence élevée et les modes de transmissions communes de ces virus notre étude se fera dans ces 3 populations afin de déterminer la prévalence de la co-infection VHB et VHC chez les personnes vivant avec VIH et Sida.
Pour étayer ces hypothèses nous nous sommes fixés quelques objectifs.
-Objectifs :
Notre objectif général était de décrire l’épidémiologie de l’hépatite B et C chez les personnes vivant avec le VIH et Sida.
-Méthodologie :
Notre étude rétrospective Elle s’est déroulée du 1er janvier 2005 au 31 décembre 2014 dans le CHU du point G entre le service de la médecine interne et le service de maladie infectieuse et tropicale.
Notre critère d’inclusion était les patients dont la sérologie VIH était positive chez qui la recherche des AgHBs et Ac anti-VHC est revenue positive et notre critère d’exclusion était toutes les personnes dont la sérologie VIH était négative et les personnes dont la sérologie VIH était positive chez qui la recherche AgHBs et Ac anti- VHC est revenue négative.
Résultats :
Au total nous avons enregistré 123 cas de co-infection VIH et Sida -VHB et VHC dont la Co-infection VIH et Sida -VHB représentait 93,5% et la Co-infection VIH et Sida -VHC 6,5%. Nous n’avons pas trouvé des cas de Co-infection VIH et Sida-VHB-VHC.
La tranche 36-45 ans était plus touchée dans la co-infection VIH et Sida -VHB et de VIH et Sida -VHC soit 34,8% avec des extrêmes 18-77 ans pour VIH-VHB et 62,5% avec des extrêmes 18-65 ans pour VIH-VHC.
Conclusion :
La coinfection VIH et Sida -VHB était plus fréquemment observée avec 93,5%.
Nous remarquons que les Co-infections VIH et Sida -VHC et VIH et Sida -VHB-VHC sont relativement faible qui mérite d’être vérifiée par des études de biologies moléculaires afin de mieux caractériser ces Co-infection virales.
2016-01-01T00:00:00ZArthroplastie de la hanche au chu gabriel toure et chu pr bocar sidy sall de kati
https://library.adhl.africa/handle/123456789/14109
Arthroplastie de la hanche au chu gabriel toure et chu pr bocar sidy sall de kati
Notre étude avait pour objectif d’étudier l’arthroplastie de la hanche au CHU Gabriel TOURE et CHU Bocar Sidy SALL de KATI à travers une étude prospective multicentrique, d’une série de 38 cas sur une durée de 8 mois, allant de Janvier 2020 à Aout 2020 :
La tranche d’âge de [75-90 ans [ a été la plus représentée dans notre étude avec une moyenne d’âge de 59 ans. Le sexe masculin a été le plus représenté avec un sex-ratio de 2,125. 65,8 % de nos patients avaient un IMC comprise entre 18,5 et 25. 15,8% de nos patients présentaient un diabète et une HTA. 82% de nos patients n’avait pas d’antécédents de chirurgie de la hanche. 97% de nos patients avaient une abolition de toute amplitude articulaire en pré opératoire. Le score de Parker moyen de 4,57 en pré opératoire. L’indication dominante de la pose de la prothèse de hanche étaient la Fracture du col fémoral suivit de l’ostéonécrose de la tête fémorale. La voie d’abord la plus utilisé était la voie de HARDINGE Les types prothèses de hanches les plus utilisées étaient des PTH (68,4%) à insert fixe (34,2%) non cimenter (13,2%), avec un cotyl vissé (31,6%), à surface externe de 52mm (26,3%), une tige fémorale de 11cm (28,9%), un col moyen (68,4%), une tête prothétique de 28mm de diamètre (73,7%), mais aussi que tous les types de PTH sont utilisés de même que les PIH (23,7%) et les prothèses de MOORE (7,9%).
Les résultats primaires étaient marqués par
Une autonomie à la marche sans béquille dans 60,5% des cas. Un score PMA excellent dans 42,1% et bon dans 42,1% des cas. Un score. DEVANE grade 2 dans 50%. Un score PARKER 6 dans 44,7%.
2 complications post opératoire dont une infection post opératoire précoce et une infection post opératoire tardive
A la lumière de ces résultats nous avons conclu que l’arthroplastie de la hanche est de plus en pratiquée au MALI avec des résultats encouragent mais qui peuvent être encore améliorer avec la formation continue des chirurgiens orthopédiste et un équipement plus satisfaisant.
2021-01-01T00:00:00ZDevenir immédiat des nouveau-nés opérés pour pathologies chirurgicales au service de Néonatologie du CHU GABRIEL TOURE de Bamako
https://library.adhl.africa/handle/123456789/13695
Devenir immédiat des nouveau-nés opérés pour pathologies chirurgicales au service de Néonatologie du CHU GABRIEL TOURE de Bamako
RESUME :
Introduction : les pathologies chirurgicales néonatales regroupent les affections du nouveau-né qui se manifestent de la naissance à la fin du premier mois de la vie et qui nécessitent un traitement chirurgical. Ce sont les anomalies des structures ou des fonctions, dont les troubles métaboliques, présentes à la naissance [1].
Objectifs spécifiques :
- Décrire les caractéristiques sociodémographiques des nouveau-nés ;
- Décrire les types de pathologies chirurgicales retrouvés chez les nouveau-nés ;
- Déterminer le pronostic des nouveau-nés prise en charge chirurgicalement.
Méthodologie : service de néonatologie du département de pédiatrie du CHU-GT de Bamako.
Résultats : sur 11697 patient hospitalisés dans le service de néonatologie du 1er janvier 2016 au 31 décembre 2018 ; 626 cas avaient une pathologie chirurgicale : soit 5,35%.
L’âge moyen des mères était de 25,79 ans ±7,1. Les mères étaient des femmes au foyer et non scolarisées dans respectivement 85,5% et 68,3% des cas.
L’accouchement a été fait par voie basse chez 90,9% des mères.
Le sex-ratio était de 1,3 en faveur des garçons.
La pathologie de l’abdomen et du tube digestif représentait 54,4% suivie des malformations du système nerveux : 29,6% des cas.
Le diagnostic était anténatal dans 1,4% des cas. L’intervention chirurgicale a été faite dans 23,16%.
La létalité était de 12,4%. Les principaux facteurs de ce taux de morbi-mortalité ont été l’insuffisance de plateau technique, les urgences digestives et la survenue de complications post-opératoires.
Conclusion : Le taux de mortalité lié aux pathologies chirurgicales du nouveau-né reste élevé. L’accent devrait être mis sur le diagnostic anténatal, la prise en charge précoce et le suivi post opératoire.
2019-01-01T00:00:00ZPrise en charge des traumatismes balistiques à l’hôpital Sominé Dolo de Mopti
https://library.adhl.africa/handle/123456789/13917
Prise en charge des traumatismes balistiques à l’hôpital Sominé Dolo de Mopti
2021-01-01T00:00:00ZLes cancers colorectaux dans le district de Bamako de 2015 à 2019
https://library.adhl.africa/handle/123456789/13655
Les cancers colorectaux dans le district de Bamako de 2015 à 2019
Résumé
Notre étude avait pour but d’étudier les aspects épidémiologiques et histopathologiques des cancers colorectaux à Bamako de 2015 à 2019 à partir des données du registre des cancers. Il s’agissait d’une étude rétrospective et transversale, allant du 1er Janvier 2015 au 31 décembre 2019 soit une durée de 5 ans. Cette étude nous a permis d’obtenir 636 cancers colorectaux dans le district de Bamako sur un total de 10 597 cancers soit une fréquence de 6%. L’incidence est de 7,9 pour 100 000 habitants. L’âge moyen de nos patients était de 53,11±19,44 ans avec des extrêmes de 3 et 99 ans. Les données provenaient de deux principales structures : le CHU du point G (52,7%) et le CHU du Gabriel Touré (14,2%). La confirmation histologique et cytologique (83,5%) a été faite par le service d’anatomie cytologique et pathologique du CHU du point G. La localisation colique était la plus fréquente avec 52,6%.
2021-01-01T00:00:00ZAspects echographiques de la rate au cours de la drepanocytose au centre de recherche et de lutte contre la drepanocytose (CRLD)
https://library.adhl.africa/handle/123456789/13928
Aspects echographiques de la rate au cours de la drepanocytose au centre de recherche et de lutte contre la drepanocytose (CRLD)
Résumé
La drépanocytose est la maladie génétique la plus fréquente au monde. Son évolution est caractérisée par la survenue des complications aigues liées par le plus fait aux phénomènes de vaso-occlusion et de complications chroniques. Tous les organes peuvent faire l’objet d’atteinte en particulier la rate. Le but de ce travail est d’étudier les aspects échographiques de la rate au cours de la drépanocytose.
Méthode : Il s’agit d’une étude prospective descriptive de cohorte analytique réalisée au centre de recherche et de lutte contre la drépanocytose (CRLD). Ont été inclus tous les patients drépanocytaires quelque soit l’âge et le sexe ayant consenti à participer à l’étude et ayant bénéficié d’une échographie abdominale.
Résultat : 204 patients répondant aux critères ont été inclus. L’âge moyen était de 17 ± 14 ans avec une légère prédominance féminine. Les patients étaient en majorité de phénotype SS. La rate était de taille et d’échostructure normale dans respectivement 49% et 93%. Nous n’avons pas trouvé de lien statistiquement significatif entre les anomalies échographiques de la rate et les complications chroniques drépanocytaire.
Conclusion : L’échographie reste l’outil majeur pour l’évaluation de la rate chez le drépanocytaire.
2021-01-01T00:00:00ZPronostic des urgences obstétricales dans le service de Gynéco-Obstétrique du CHU Point G
https://library.adhl.africa/handle/123456789/13893
Pronostic des urgences obstétricales dans le service de Gynéco-Obstétrique du CHU Point G
Nous avons réalisé une étude transversale sur une periode de 7 ans allant du 01 janvier 2008 au 31 décembre 2014 dans le service de Gynécologie-Obstétrique du CHU du PG.
Les données ont été recueillies à partir du registre de soins obstétricaux et néonataux d’urgences (SONU).
Nous avons enregistré 1261 cas d’urgences obstétricales sur un total de 11052 accouchements soit une fréquence de 11,40%.
La tranche d’âge de 20-29 ans a été la plus représentée 42,5%.
Pronostic des urgences obstétricales dans le service de Gynéco-Obstétrique du CHU Point G Thèse de Médecine Mahamadou Idrissa MAIGA Bamako 2019
b
Les facteurs de risque les plus représentés ont été les pathologies hypertensives, la grande multiparité et la dystocie avec respectivement : 33,78% et 13,88%.
Quatre-vingt-huit virgule soixante-quatorze pour cent de nos patientes avaient été référées par les Centres de Santé de Référence, soulevant ainsi le problème du délai et de la qualité du transport.
L’HTA et l’hémorragie ont été les principaux diagnostics d’entrée avec respectivement 40,36% et 26,25%.
Les pathologies les plus fréquentes : HRP (16,9%), GEU rompue (2,2%), les complications de l’avortement clandestin (0,8%), MFIU (2,0%), anémies (0,2%), SFA (3,7%), HTA et complications (40,36%), travail dystocique (13,88%).
La césarienne a été l’intervention la plus pratiquée avec 60,75%.
Le pronostic materno-foetal a été mauvais avec 10 cas de décès maternels soit 0,79% et 2 cas de décès néonatals soit 0,21%.
Les facteurs de risque les plus représentés ont été les pathologies hypertensives, la grande multiparité et la dystocie avec respectivement : 33,78% et 13,88%.
Quatre-vingt-huit virgule soixante-quatorze pour cent de nos patientes avaient été référées par les Centres de Santé de Référence, soulevant ainsi le problème du délai et de la qualité du transport.
L’HTA et l’hémorragie ont été les principaux diagnostics d’entrée avec respectivement 40,36% et 26,25%.
Les pathologies les plus fréquentes : HRP (16,9%), GEU rompue (2,2%), les complications de l’avortement clandestin (0,8%), MFIU (2,0%), anémies (0,2%), SFA (3,7%), HTA et complications (40,36%), travail dystocique (13,88%).
La césarienne a été l’intervention la plus pratiquée avec 60,75%.
Le pronostic materno-foetal a été mauvais avec 10 cas de décès maternels soit 0,79% et 2 cas de décès néonatals soit 0,21%.
2019-01-01T00:00:00Z